Le midi, la solution pratique pour aller courir à Grenoble, c’est le stade Bachelard.
Entre piste et parc, tout est à disposition pour faire du bon travail.
Mais ici il y a quelques années le décor était bien différent…
67 ans séparent ces deux photos mises en parallèle. (pas si simple à faire d’ailleurs)
J’adore faire ces petits comparatifs..D’autres sont en préparation..
Voila donc où j’aurai couru en 1947 :
On notera ici que le stade Lesdiguières (en bas à gauche), fief du FCG, était déjà présent. Ainsi que le petit plan d’eau au milieu de notre parcours actuel. Par contre la route principale rejoignant l’autoroute en bordure de l’Isère était elle inexistante.
1947, c’est l’année de naissance de ma maman. Que de changements en si peu de temps!
J’ai découvert dernièrement cette superbe chanson d’Alain Souchon, à ses début, parlant d’un monde « qui change de peau » :
On notera que le bâtiment principal existait déjà et qu’un semblant de stade de foot apparait clairement.
Tant d’urbanisation en si peu de temps..C’est un peu effrayant je trouve..
Et ce que cette évolution va suivre le même rythme effréné? Et qui sait ce qu’il restera de ce parc dans 67 ans.
Peu de chance à 111 ans d’être encore là pour vous en parler, à moins que d’ici là, les progrès de la médecine nous fassent tous devenir centenaire ; Mais c’est pas ça qui solutionnera le problème de l’urbanisation…Bien au contraire 🙂
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